Etude sur le ruisseau de Sardy et de ses affluents (58)

Le Ruisseau de Sardy est un affluent de l’Yonne qui coule dans le département de la Nièvre. Très peu de connaissances sont disponibles sur cette masse d’eau. La Fédération de la Nièvre pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique a donc initié une étude sur celle-ci afin de recenser le potentiel biologique ainsi que

La restauration d’une parcelle humide : la Fère

« On entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire, ou dont la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année  » (Code de l’environnement – art. L211-1). La faune phytophile -qui

La restauration de deux frayères en rive droite de la Marne

La Marne est une rivière qui, depuis de nombreuses années, subit des actions de l’Homme : chenalisation (aménagements de cours d’eau visant à améliorer son écoulement), construction de barrage, d’écluses… Ce cours d’eau de seconde catégorie piscicole, accueille principalement des cyprinidés (carpe, vairon…) et des carnassiers, comme le brochet. Cette espèce, actuellement classée comme « vulnérable » (liste UICN), est notamment menacée

La restauration d’un ancien méandre de la Vesle

Le Brochet remonte les cours d’eau durant l’hiver afin de trouver un lieu adéquat pour sa reproduction lors des crues printanières. Il fréquente notamment les annexes alluviales, caractérisées par de faible courant et profondeur. Le Brochet est une espèce phytophile, c’est-à-dire que les femelles pondent leurs œufs sur de la végétation herbacée. Ces œufs mettront ensuite une dizaine de jour

La restauration de la continuité écologique en forêt domaniale de Saint Michel (02)

Le ruisseau de Fourchamp est un affluent de l’Artoise, un cours d’eau qui a obtenu le prestigieux label rivières sauvages, qui valorise la qualité écologique du site. Le Grand Riaux est lui, comme l’Artoise, un affluent du Gland et est considéré comme « réservoir biologique », au titre de l’article L214-17 du code de l’environnement, c’est-à-dire que de nombreuses espèces peuvent

Restauration de la frayère de Surgy à Pousseaux (58)

Le brochet, espèce repère des rivières de seconde catégorie piscicole, a besoin de zones humides pour se reproduire. Ces zones sont des annexes aux cours d’eau, composées de végétation herbacée, support de ponte du brochet. Pour être fonctionnelles, ces annexes doivent être inondées pendant la période de frai, de début février à mi mai environ. Elles doivent ainsi être connectées à la

Restauration d’une frayère à brochet sur l’Île au Noyer (76)

Pour se reproduire, le brochet a besoin de zones humides ; ce sont des annexes latérales au cours d’eau. Ces zones doivent être d’une hauteur d’eau inférieure à un mètre, riches en végétation aquatique ou semi aquatique et inondables de février à juin pour permettre la frai (ponte des œufs des poissons) et le développement des alevins de l’espèce. La reproduction du brochet

L’effacement du seuil de la ferme du château d’Imbleville (76)

Le seuil de la ferme du Château d’Imbleville est un obstacle à la continuité écologique situé sur la Saâne, un fleuve de première catégorie piscicole. Il est, par ailleurs, classé en liste 2 au titre de l’article L214-17 du code de l’environnement. Par conséquent : « tout ouvrage doit y être géré, entretenu et équipé ». C’est pourquoi, en 2011,

Effacement du seuil du moulin Bleu (76)

La Béthune est un cours d’eau classé en liste 1 et 2 de l’article L214-17 du Code de l’environnement, ce qui implique que pour : « assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs, tout ouvrage doit y être géré, entretenu et équipé. » En outre, un ensemble de plans et programmes (le SDAGE Seine Normandie,

Restauration hydromorphologique du Rétin à Courcelles-sur-Blaise (52)

La source Rétin est un cours d’eau de première catégorie piscicole, ce qui signifie que sa population piscicole est à dominante salmonicole. Elle a un fort potentiel pour l'accueil de la truite fario, l’espèce repère des cours d’eau de première catégorie. Sur conseil de la Fédération départementale de la Haute Marne pour la pêche

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